La théorie de l'attachement. Salut tout le monde et surtout bonne année ! Je vous souhaite que 2025 soit rempli de joie, d'amour, de paix et de réussite. Bref, j'espère que vous allez démarrer une très bonne année, que vous allez pouvoir continuer à apprendre le français ensemble.
avec nous et à apprendre aussi beaucoup d'autres choses sur la société, sur le monde, sur la France. Voilà, nous, chez InnerFrench, on vous prépare de nouvelles choses pour la rentrée. Je pense qu'Hugo vous en a parlé dans l'épisode précédent que je n'ai pas encore pu écouter au moment où j'enregistre le mien.
Mais en tout cas, j'espère qu'on va passer de bons moments ensemble. N'hésitez pas, comme d'habitude, à nous envoyer des e-mails, à nous écrire en commentaire pour nous dire ce que vous souhaitez pour la prochaine année, si vous avez des remarques à nous faire sur les sujets qu'on pourrait traiter dans le podcast. Et voilà, nous, on est toujours prêts
parce qu'on travaille ensemble et donc pour cette rentrée, on ne déroge pas à la règle, on veut aussi avoir vos opinions.
En tout cas, pour ma part, je suis très contente de savoir que bientôt, vous allez pouvoir, d'ailleurs peut-être au moment où vous écoutez le podcast, c'est déjà fait, mais vous allez pouvoir accéder à de nouvelles vidéos dans le cours « Les visages de Paris ». C'est des vidéos que j'ai eu beaucoup, beaucoup de plaisir à réaliser avec Hugo.
et voilà, j'ai hâte que vous puissiez les voir, nous faire des commentaires et qu'on puisse avancer ensemble sur ce cours.
Alors, comme c'est une nouvelle page qui se tourne, un nouveau moment de vie, moi j'aime bien dans ces moments me poser et réfléchir à comment on peut améliorer notre vie et alors pendant un
un moment dans ma vie, je dois dire, comme beaucoup de personnes, je m'intéressais beaucoup au développement personnel et à beaucoup de petites techniques qui permettent d'être plus productif ou qui permettent d'accomplir beaucoup de choses. Et c'est vrai que c'est important de
Mais en cette rentrée, j'avais envie de vous partager quelque chose que j'ai appris en 2024 et qui est plutôt de l'ordre du psychologique et du travail sur soi, mais à un niveau beaucoup plus profond. Il ne s'agit pas de parler de comment être plus productive,
comment mieux se réveiller le matin, comment mieux apprendre, etc. Mais je voulais vous parler d'une théorie
psychologique qui est assez importante dans le monde de la psychologie au niveau international et qui, je trouve, est une bonne manière d'appréhender la santé mentale et donc qui peut intéresser tout le monde, toutes les personnes qui sont intéressées par le fait d'aller mieux en général et surtout de soigner ses
Donc voilà, aujourd'hui, le sujet que j'ai choisi, c'est la théorie de l'attachement parce que j'en ai beaucoup entendu parler en 2024.
Si vous êtes un peu sur les réseaux, peut-être que vous aussi, vous avez remarqué que sur YouTube, TikTok, Instagram, bref, moi je suis un peu accro à tous les réseaux, cette théorie a beaucoup ressurgi ces dernières années. Et donc en 2024, que je le vous veuille ou non, j'ai beaucoup appris sur cette théorie à travers des tonnes de vidéos.
Mais beaucoup de ces vidéos étaient en anglais. Donc, je me suis dit que ça pouvait être intéressant d'en parler à ce moment-là de l'année et puis surtout d'en parler dans ce podcast parce que ça fait du vocabulaire qu'on ne trouve pas forcément en français mais qui est intéressant pour pouvoir discuter avec des proches. Par exemple, je sais que beaucoup d'entre vous parlent
ont de la famille française. Donc voilà, pouvoir transposer certains concepts qu'on entend beaucoup en anglais en français, ça peut être intéressant. Alors c'est parti, on y va. Je vais commencer tout simplement par décrire un peu de quoi il s'agit.
Alors, la théorie de l'attachement, c'est une théorie dans le champ de la psychologie qui ne date pas d'hier. Les premiers travaux qui mentionnent cette attachement
« Attachement » date des années 1950 et parmi les personnes qui ont travaillé sur le concept, on peut citer par exemple le Britannique John Bob Lee, je ne sais pas si je le dis très bien, et une Américaine aussi qui travaillait avec lui qui s'appelait Mary Ainsworth.
Et donc, c'est une théorie qui consiste à dire que dans la petite enfance, vraiment au niveau bébé-bébé,
Tous les êtres humains ont besoin d'une figure d'attachement, c'est-à-dire une personne référente qui prend soin de lui ou d'elle et donc qui va être sa référence pour tout ce qui est lien relationnel.
En anglais, on parle de « caregivers ». Donc, c'est un mot qui est assez difficile à traduire tel quel en français. Je vais vous expliquer.
J'ai vu parfois « donneur de soins ». Ça peut être « personne référente ». Ça peut être aussi « parent », parfois, on dit. Alors, du coup, ça peut être « parent » au sens large, même si on est, par exemple, adopté ou si, par exemple, un bébé ne passe pas beaucoup de temps avec ses parents, mais avec une autre personne.
Mais en gros, cette théorie dit que dès les tout premiers âges de la vie, les êtres humains ont une première relation qui va...
ancrer en eux très profondément le schéma de comment doivent fonctionner les relations familiales, les relations amicales et amoureuses, en tout cas toutes les relations où il y a de l'attachement de l'amour. Cette théorie part du principe que
que le besoin d'être proche des autres est un besoin naturel, presque un besoin biologique, un instinct de survie. Et d'ailleurs, ça a été prouvé par beaucoup d'études. Dès le plus jeune âge, le fait d'être en contact avec les autres est essentiel. Un bébé à qui on donnerait tout ce qu'il faut en termes de nourriture et d'eau, c'est
si on le laisse en complet isolement, il ne va pas survivre. Donc, c'est quelque chose qui est biologique et qui ne va pas être donné de la même manière à tous les enfants. Et donc, à partir de là,
il va se détacher plusieurs types d'attachements qui correspondent à plusieurs types de relations qu'on peut avoir dans l'enfance avec sa personne référente. Donc par exemple, quand la personne référente est toujours présente, répond aux besoins, ne laisse pas de doute sur son attachement, etc., etc.,
la personne qui va grandir aura ce qu'on appelle un attachement sécurisant.
Là encore, c'est un mot qui est traduit. En anglais, on dit « secure ». Et en français, parfois, on peut voir écrit « secure ». Mais on peut aussi dire « sécurisant ». Vous savez, il y a beaucoup d'anglicismes dans la langue française, surtout quand on parle de sujets qui ont une théorie de base qui est anglaise ou anglophone.
américaine, voilà, qui est anglophone. Donc voilà, vous pourrez voir sécure en français avec un accent aigu, mais on peut aussi, pour que ça sonne un peu plus correct, dire sécure.
En tout cas, quand on parle de quelqu'un qui a ce type d'attachement, c'est un enfant qui se sent en confiance, qui est sûr que ses besoins seront pris en compte par ses parents ou par les personnes qui s'occupent de lui et qui donc va pouvoir explorer son environnement en toute sécurité.
en sachant qu'à tout moment, il peut revenir demander de l'aide. Et donc, voilà, c'est un enfant qui va être assez équilibré, à la fois indépendant, mais capable de demander de l'aide, qui ne va pas taire ses besoins, mais qui ne va pas non plus être trop dans la demande et se faire trop entendre quand il pourrait résoudre ses problèmes tout seul. Donc,
Voilà, on a quelque chose qui est assez équilibré. Mais alors, pour réussir à avoir cet attachement sécurisant, il faut qu'il y ait beaucoup de critères qui soient remplis dans la petite enfance. Et c'est compliqué parce que souvent, il y a des adultes qui eux-mêmes ne savent pas comment faire.
Et je pense que c'est pour ça que cette théorie est assez à la mode en ce moment, puisque comme vous le savez, il y a toute une génération de mon âge à peu près, de nouveaux parents qui sont beaucoup sur les réseaux sociaux et qui essayent de trouver des ressources pour savoir comment agir avec leurs enfants.
Alors j'avoue que moi, en plus, je suis beaucoup sur ces réseaux parce qu'il y a beaucoup d'enfants autour de moi. Il y a beaucoup de parents qui discutent avec moi, par exemple, de la question de laisser pleurer l'enfant plutôt que de le consoler, qui était quelque chose qui était très à la mode dans les années 90 quand je suis née. Voilà, moi, j'ai beaucoup d'amis qui ont demandé à leurs parents et leurs parents leur ont dit « bah oui ».
« Toi, tu étais dans ta chambre quand tu étais petit, tu pleurais, tu pleurais et les docteurs nous avaient dit qu'il ne fallait pas aller te consoler. » Maintenant, il y a des remises en question de ça. Et j'ai quand même recherché sur Google Trends, vous savez ce site où on peut voir les recherches faites sur Google d'un sujet et tout ce qui est lié à la théorie de l'attachement en français.
eh bien, il y a une explosion à partir de 2019 et ça continue à augmenter. Voilà, donc c'est un sujet qui a été développé dans les années 50, mais qui là, en ce moment, à partir du début des années 2020, est vachement étudié et recherché, en tout cas en France.
Alors, les enfants qui n'ont pas un attachement sécure, sécurisant, on va dire qu'ils ont un attachement insécure ou non sécurisant.
ou non sécurisé. Voilà, comme vous le voyez, il n'y a pas une traduction bien stable. Et alors, donc, les personnes qui n'ont pas cet attachement sécure, sécurisé, ils vont soit avoir un attachement anxieux, c'est-à-dire s'inquiéter constamment de ne pas être assez aimé, soit ils vont avoir un attachement évitant, c'est-à-dire qu'ils vont apprendre à
à ne pas montrer leurs émotions, à se protéger, à garder leur distance. Et puis, il y a encore un autre style d'attachement qui s'appelle l'attachement désorganisé, qui est assez rare. Et c'est là où l'enfant est tellement dans un environnement traumatisant avec des parents ou des personnes référentes qui sont...
peu fiable et dont on ne peut pas prédire les réactions, que les enfants vont avoir tendance à eux-mêmes être complètement désorganisés, parfois à être anxieux, parfois à être évitants. Et bon, ça c'est quand même assez rare, mais ça existe.
Voilà, ça c'est la première partie que je voulais faire. C'était tout simplement pour donner quelques définitions, pour expliquer d'où vient cette théorie. Et on a compris que probablement à cause des nouvelles parentalités qui sont un peu en recherche de nouvelles références, qui vont piocher aussi dans les références plus anciennes mais moins connues, eh bien voilà, c'est à la mode.
Maintenant, on va voir dans une deuxième partie que ça ne concerne forcément pas que les enfants et que donc il n'y a pas que les parents ou les jeunes grands-parents qui peuvent être intéressés par ce sujet. Mais ça peut concerner tous les adultes, même qui ne sont pas en présence d'enfants, parce que, évidemment, ça a des conséquences toute la vie.
La théorie de l'attachement, elle, a plusieurs volets. Il y a
Il y a le volet qui est complètement orienté sur la petite enfance. Voilà, parce qu'il y a des champs de la psychologie qui sont très spécifiques à l'enfance, à comment s'occuper des enfants, à comment les aider à aller mieux quand quelque chose s'est mal passé au moment où ils étaient nourrissons. Donc, nourrissons, c'est vraiment la reconnaissance
Première étape de la vie, on est d'abord nouveau-né, puis nourrisson. En général, on peut aussi dire bébé de manière plus globale. Mais donc, cette théorie, elle va un peu plus loin puisqu'il y a aussi le volet adulte. Les quatre styles d'attachement que je vous ai décrits, donc sécure, anxieux, évitant, désorganisé,
S'il n'y a rien qui est fait au cours de l'enfance et de l'adolescence pour discuter de cela, pour réussir à comprendre où sont les traumatismes, pour en gros se recalibrer, eh bien...
Il n'y a aucune raison qu'à 30, 40, 50, 80 ans, on n'ait pas encore ce style d'attachement. Et donc là, je pense que ça explique aussi pourquoi sur les réseaux sociaux, dernièrement, ça a été assez revalorisé. C'est parce que c'est une...
qui peut permettre de mieux se comprendre et qui peut permettre de résoudre parfois certains conflits relationnels à l'âge adulte et notamment dans le couple ?
Pourquoi ? Parce que, par exemple, quelqu'un qui est sécure, c'est quelqu'un qui ne va pas avoir de difficultés à savoir ce qu'il ou elle veut dans ses relations, quelqu'un qui va être capable de
Exprimer correctement ce dont il ou elle a besoin, qui va être capable d'écouter l'autre, de répondre à ses besoins, mais aussi de se protéger et de dire stop, par exemple, s'il y a une question abusive ou si l'autre n'est pas disponible.
Alors qu'au contraire, les personnes qui ont un attachement qui n'est pas sécure vont avoir tendance à avoir des attitudes qui ne sont pas forcément très saines et donc soit à être anxieux, c'est-à-dire à s'accrocher très vite à d'autres personnes, à chercher sans cesse...
à être rassuré, à chercher sans cesse à être dans une proximité très intense avec les autres, sinon ils ou elles vont avoir l'impression de ne pas être aimés.
Et au contraire, les personnes qui sont évitantes vont avoir tendance à avoir très très peur des émotions fortes et donc à rejeter les personnes dès lors qu'elles ou ils ont l'impression de commencer à avoir des émotions, commencer à s'attacher, puisqu'ils ont peur qu'un jour ça se retourne contre elles ou eux.
Donc on est face à des êtres humains somme toute normaux, j'ai envie de dire, on peut se dire bah oui il faut de tout pour faire un monde, pas besoin de rentrer dans des cases et c'est vrai que
C'est pour ça qu'on parle de théorie, puisque ce n'est pas scientifique dans le sens d'une science dure où on rentre dans une catégorie et on y est pleinement. On peut être un peu évident, un peu anxieux. Ça peut venir d'un léger traumatisme dans l'enfance. Ça peut venir d'un climat plus général dans la famille. Moi, je pense, en ayant vu beaucoup de choses dessus,
qu'on peut expliquer les interactions sociales de beaucoup d'autres manières ?
C'est une manière qui est en tout cas intéressante. Par exemple, il y a un livre que j'avais beaucoup aimé il y a quelques années qui, pour le coup, il me semble, est en français à l'origine puisque l'autrice est canadienne. Elle s'appelle Lise Bourbeau et c'était « Les cinq blessures qui empêchent d'être soi-même ».
Et dans ce livre, il y a beaucoup de parallèles qui peuvent être faits avec la théorie de l'attachement. Et pourtant, ce ne sont pas exactement les mêmes catégories. Et pourtant, à l'intérieur de ce livre, il y a des choses qui me paraissent un peu bizarres, mais...
En général, c'est toujours intéressant d'aller chercher plusieurs choses, plusieurs théories, plusieurs explications parce que finalement, ce qui est important, c'est plutôt le processus, c'est plutôt les réflexions qu'on va avoir autour de ça plus que se figer dans une case en particulier.
Il y a quelque chose par exemple dans la théorie de l'attachement qui je pense a pu être très bénéfique pour beaucoup de personnes. C'est cette idée que souvent les personnes évitantes et les personnes anxieuses vont avoir tendance à se retrouver parce qu'elles vont à la fois se
se compléter mais en même temps en reproduisant sans cesse l'une avec l'autre leur traumatisme pour pouvoir les guérir et c'est vrai que pour ces personnes là qui probablement sont à la fois très attirées les unes par les autres mais aussi qui ne se comprennent vraiment pas sur beaucoup de points et bien ce genre d'expérience
Explication schématique, ça peut être bénéfique pour mieux se comprendre, pour mieux expliquer ses comportements, à condition évidemment de ne pas se servir de ça comme une excuse en se disant que ça ne changera jamais.
Et moi, j'ai un exemple autour de moi, un couple d'amis qui sont vraiment géniaux et qui se sont penchés sur ces théories quand ils ont eu un enfant. Et ça leur a permis de communiquer tous les deux d'une manière vraiment très belle, de pouvoir se replonger dans leur enfance et se les raconter, se rendre compte qu'ils n'avaient pas du tout les mêmes peurs,
qu'ils n'avaient pas du tout les mêmes façons d'être rassurés. Et donc, c'est là où je pense que c'est quelque chose, en général, que ce soit la théorie de l'attachement, que ce soit des livres comme « Les cinq blessures de Lis Bourbeau ». Je sais qu'il y a aussi un schéma qui s'appelle « L'énéagramme ». Je ne me suis pas trop penchée dessus, mais voilà.
C'est des choses qui permettent de pouvoir parler de soi et peut-être réparer certaines choses. Et ça, ce sera notre dernière partie. C'est parler de « et après ». Une fois qu'on a compris tout ça, qu'est-ce qu'on fait ? Est-ce qu'on peut changer son style d'attachement ?
C'est un peu la question qui revient tout le temps dans les commentaires quand un psychologue, une psychologue ou même une personne qui a pu se renseigner sur la question raconte comment se forme l'attachement dans l'enfance. Et oui, parce que si on pense que c'est quelque chose qui est ancré en nous, qui est écrit au plus profondément de nous, on peut penser que
C'est raté, c'est pour toute la vie, c'est comme ça. Et ça peut être assez inquiétant puisque dans ce cas, les personnes qui ne sont pas sécurisées, qui ne sont pas sécures, peuvent penser qu'elles ne pourront jamais avoir de relation sécure.
Et au contraire, les personnes qui peuvent être sécures dès maintenant peuvent se dire qu'elles ne vont pas perdre de temps avec des personnes qui seraient anxieuses ou évitantes ou désorganisées. Je n'ai pas beaucoup parlé de profil désorganisé parce que c'est un peu plus complexe. Mais voilà, on peut penser ça.
En réalité, comme toutes les théories, on va dire, psychologiques, ça n'entre pas dans l'ordre de la pathologie, de quelque chose qui est vraiment chimique et pour lequel, par exemple, il faudrait prendre des médicaments. Non, c'est de l'ordre du psychologique. Ça veut dire que ça peut toujours être recalibré
On recalibre ce genre de choses en en prenant conscience, en en discutant beaucoup. Et donc, par exemple, la thérapie par la parole peut énormément aider. J'ai vu des témoignages de personnes qui expliquaient qu'elles avaient, par exemple, un attachement enceinte.
anxieux, qu'elles avaient beaucoup de mal à avoir des relations saines, qu'elles avaient tendance à toujours croire que l'autre personne ne l'aimait pas, à toujours croire qu'elles allaient être abandonnées, etc. Et en travaillant,
En thérapie individuelle et aussi en communiquant à deux, en communiquant avec éventuellement les personnes qui avaient été leurs personnes d'attachement quand elles étaient petites, eh bien tout ça peut se travailler. Alors,
J'aimerais vous conseiller un livre, mais je dois vous faire une confession, c'est que je n'ai pas lu ce livre moi-même. Ça fait partie de ma liste de livres que j'aimerais lire en 2025. J'en ai beaucoup. D'ailleurs, si jamais vous voulez plus d'épisodes avec des recommandations de livres émouvant,
J'ai aussi dans ma liste des romans, des livres politiques, etc. Mais donc, pour revenir sur cette recommandation du jour, il y a un livre qui est beaucoup, beaucoup cité quand on recherche des infos sur ce sujet, celui de Pompidou.
Amir Levine, si on le prononce en français, et Rachel Heller. Donc évidemment, c'est un livre qui est en anglais à la base. Mais si vous voulez le livre en français, ce sera bien pour le vocabulaire. Ça s'appelle « Attaché ».
Et c'est un livre qui explique un peu. Je ne sais pas ce que ça vaut. Je pense, je vous le dis, qu'il faut prendre avec des pincettes ce genre d'ouvrage. Mais quand on est assez intelligent...
On peut réussir à prendre ce qui est bon et à ne pas garder ce qui n'est pas bon. C'est exactement ce que j'ai pu faire avec, par exemple, le livre de Lise Bourbeau. Et je trouve qu'on peut toujours trouver plein d'outils intéressants. Donc, si vous l'avez lu, n'hésitez pas à m'en parler dans les commentaires. Et moi, je vais lire.
Et puis, on va pouvoir comparer, peut-être qu'on en reparlera dans quelques temps sur ce podcast. En tout cas, c'est une théorie qui m'avait l'air plutôt intéressante, qui permet de s'intéresser à sa psychologie profonde, qui permet de se pencher sur nos relations interpersonnelles. Et je pense qu'il n'y a jamais de mal...
surtout quand on commence une nouvelle année, à se pencher sur ces sujets et à essayer d'aller toujours mieux et de mieux communiquer avec les autres. Je vous laisse sur cette réflexion. J'espère que cet épisode vous a plu. Je vous souhaite encore une fois une très belle année et je vous dis à très très bientôt. Bye bye !