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cover of episode "Les Malheurs de Sophie, une comédie musicale" de Sabine Zovighian et Michael Liot 2/5 : Sophie était désobéissante

"Les Malheurs de Sophie, une comédie musicale" de Sabine Zovighian et Michael Liot 2/5 : Sophie était désobéissante

2025/5/23
logo of podcast Le Feuilleton

Le Feuilleton

AI Deep Dive AI Chapters Transcript
People
L
Lucie
M
Madame de Réan
N
Narrator
一位专注于电动车和能源领域的播客主持人和内容创作者。
S
Sophie
U
Unknown
通过Ramsey Network的播客节目,提供实用财务建议和生活指导。
Topics
Sophie: 我承认我不听话,总是违反妈妈的规定,但我只是出于好奇,想探索那些被禁止的事物。我保证以后会听话,但总是忍不住重蹈覆辙。我真的只是想让小鸡自由自在地生活,我并没有恶意。 Madame de Réan: 苏菲,你总是让我失望,每次你都保证会听话,但总是重犯。我必须对你的行为进行惩罚,让你明白不服从的后果。我希望你能从错误中吸取教训,学会遵守规则。 Lucie: 我很同情苏菲,她只是个孩子,对世界充满好奇。但是,我也明白Madame de Réan的苦心,她必须让苏菲明白不服从的危险。我希望苏菲能尽快改正,成为一个听话的好孩子。

Deep Dive

Chapters
This chapter explores Sophie's recurring disobedience. It details instances where she disregards her mother's rules, highlighting the consequences of her actions and her repeated promises to reform. The chapter uses song lyrics to illustrate Sophie's defiance and remorse.
  • Sophie repeatedly disobeys her mother.
  • She shows remorse after her actions have consequences.
  • Her promises to change are not always kept.

Shownotes Transcript

Translations:
中文

Pardon maman, pardon maman.

Pardon à toutes les grandes personnes J'ai tout volé, j'ai tout mangé Tout découpé et tout caché C'est assez bon, je ne comprends pas Qu'on puisse être puni pour ça C'était si bien dans votre dos La crème, les fruits et les ciseaux Malheur à moi, parlez de moi J'essaye et je rate à chaque fois Je vais écorcher mes envies Je serai gentil, moi Comment font les modèles ?

Petite fille, sage et jolie, qu'elle soit, être comme elle. C'est tout le malheur de Sophie. Dis-moi, comment font les modèles, âgés et jolis, qu'elles soient, ne pas être comme elles.

C'est tout le malheur de Sophie. Malheur Sophie, malheur Sophie. Épisode 2 Sophie, Sophie ! Sophie n'était pas très obéissante. Oh, attends-moi ! Il fallait souvent lui répéter les choses deux, trois ou cinq fois avant qu'elle ne les entende. Ils sont là ! Arrête-toi devant le portail ! Sophie !

Sa maman lui avait défendu d'aller seule dans la cour, où les maçons bâtissaient une maison pour les poules, les pans et les pintades. Sophie aimait beaucoup les regarder travailler, porter les pierres, les assembler avec de la chaux et monter les murs.

hissés sur leur échelle. Bonjour, mademoiselle Sophie. Bonjour, Dillois. Vous allez bientôt construire le toit ? Pas tout de suite. Il nous reste un dernier mur à monter. Mais jeudi, sans doute. Madame de Réan, mes hommages. Oui, oui, bonjour, Dillois. Sophie, mais je ne reviens pas, moi, de devoir courir après toi comme ça. Mais maman, j'avais hâte de voir la poule. Si tu continues de courir à droite et à gauche sans m'écouter, moi, je ne t'emmènerai plus jamais avec moi. Alors, quand on s'approche de la cour, tu restes près de moi. D'accord. J'espère que je ne le répéterai pas, Sophie.

Mais maman, pourquoi vous voulez pas que j'aille voir les maçons sans vous ? Parce que les maçons lancent des pierres et des briques. Elles pourraient te blesser. Mais je ferais bien, attends, je te pique. Et puis, et puis, et puis, il y a du sable. Il y a de la chaux qui pourrait te faire glisser ou te faire du mal. Le sable et la chaux ne peuvent pas me faire du mal. Bon, tu n'en sais rien. Tu n'es qu'une petite fille, mais moi qui suis grande, je sais que la chaux brûle. Pourtant, les maçons... Cesse de raisonner. Tais-toi, tais-toi, Sophie. Je sais mieux que toi ce qui peut te faire du mal ou non. Donc, je ne veux pas que tu ailles dans la course sans moi. Sophie baisse à la tête et ne dit plus rien.

Ah, si. Écoutez, elle marmonne tout bas. J'irai quand même. Je la m'amuse et j'irai. Qu'est-ce que tu dis, Sophie ? Non, rien. Elle n'attendit pas longtemps l'occasion de désobéir. Une heure après, le jardinier vint chercher Madame de Réan pour choisir des géraniums qu'on apportait à vendre. Vous allez voir, c'est un très bel arrivage. Ah oui ? Tiens, il est où mon chapeau ? Je l'avais à l'instant. Et c'est pas celui-ci ? Ah si, merci.

Et vous en avez trouvé couleur Zinzolin ? Vous dites ? Zinzolin, mon cher. Alors c'est un petit peu rouge, un petit peu violet. Ah, euh... Oui, oui, oui, bien sûr. Sophie resta donc seule. Il y a quelqu'un ? Elle regarda de tous côtés. Ici ? Et se sentant bien seule, elle courut à la porte et alla dans la cour. Ah, mais Julien ! Mais qu'est-ce qu'elles font ces pierres au milieu du chemin ? J'allais les débarrasser. Allez, dépêche-toi ! On t'attend pour monter les pierres.

Les maçons travaillaient et ne songeaient pas à Sophie, qui s'amusait à les regarder et à tout voir, tout examiner. Allez, on soulève à trois. Un, deux et trois ! Aïe ! Ah mais enfin Julien, c'est pas vrai ! Je peux pas faire attention ? J'étais pas prêt ! Elle se trouva près d'un grand bassin à chaud, tout plein, blanc et uni, comme de la crème. Comme elle est blanche !

Comme la chouette blanche Blanche, blanche, blanche Danse blanche et unie Elle donne de drôles d'envie Comme manger de la neige Dessiner dans la crème Toucher tout ce qui Dans du neige est interdit Mais maman n'aime pas, non Je sais que maman n'aime pas Ces idées-là Allez, à trois Un, deux, et trois Tirez ! Non ! Non !

Allez, on recommence !

Souvenez-vous de moi

lorsque je vous dis rien de rien vous le regretterez ces idées là

Je vais traverser. Et Sophie posa son pied sur la chaux. Elle pensait que c'était solide comme de la glace. Mais son pied s'enfonce. Pour ne pas tomber, elle pose l'autre pied. Et elle s'enfonce jusqu'à mi-jambe. Ça brûle ! C'est loin ! C'est loin ! Vous entendez ? On dirait la petite Sophie. Ça fait de la pantie. Sophie !

Accrochez-vous à mon cou ! Oui, voilà, comme ça ! La chauve à vous brûler, les gens m'attellent, c'est déjà commencé Regardez vos souliers, vos bains m'attellent, comme ils sont consumés La chauve à vous brûler, les gens m'attellent, il faut la dégager

Regardez vos souliers, vos bas, ma zèle, comme ils sont consumés. Sophie regarda ses jambes. Malgré la chaux qui tenait encore, elle vit que ses souliers et ses bas étaient noirs, comme s'ils sortaient du feu. Allez, enlevez tout ça, vite ! Allez ! Il faut libérer la chaleur. Aïe, aïe, aïe ! Des fesses et souliers, c'est pas vrai ! Ça va aller, ça va aller !

Je vais la chercher. La bonne n'était pas loin, heureusement. Elle a couru et compris sur le champ ce qui était arrivé. Elle est ici ! Poussez-vous, dis-le moi. Poussez-vous tous. Attention, attention, c'est encore chaud. La bonne arracha les souliers et les bas de Sophie. Les jambes, ici, les jambes ! Ouf, oui, c'est très chaud. Puis elle lui essuya les pieds et les jambes avec son tablier. Là, là, voilà, c'est terminé.

Ça va se calmer. Allez chercher un grand seau d'eau, dis-moi. Je pensais que c'était comme de la glace. Je voulais glisser dessus. Mon tablier est fichu. Bon, je vais vous mettre une pommade. Venez. Elle prit Sophie dans ses bras et l'emmena à la maison. Je suis ravie de mes géraniums. Zinzola, c'est exactement la teinte que je recherchais. Méfiez-vous. Ils ont beau être robustes, ils ne supportent pas bien le froid. S'ils gèlent, je les mettrai à l'abri dans le jardin d'hiver. Madame de Réan rentrait pour payer le marchand de fleurs.

Sophie, qu'est-ce que tu fais dans les bras de Lucie ? Pourquoi est-ce qu'elle te porte ? Exactement au moment où Sophie était ramenée dans sa chambre. Sophie, tu t'es fait mal ? Mais enfin, tu es pieds nus, pourquoi ? Où sont tes souliers et tes bains ? Bon, Lucie, il faut m'expliquer. La bonne raconta à la maman ce qui était arrivé. Comment Sophie s'était échappée seule dans la cour, comment elle avait cru pouvoir glisser sur la chaux blanche et comment elle avait manqué d'avoir les jambes brûlées.

Si je n'étais pas arrivée juste à temps, la pauvre, elle aurait eu les jambes dans le même état que mon tablier. Voyez comme il est brûlé par la chaux, il est plein de trous. Irrécupérable, en effet. Sophie va vous en racheter un tout neuf. Mais comment ? Comment, à ton avis ? Je n'ai pas d'argent, maman. Mais si, ta pièce de 5 francs. Oh si, si, parfaitement. Maman ! C'était pour la dépenser à la fête du village. Je ne vais plus désobéir. Je le jure, je le jure, je le jure, je le jure, mille fois. Croyez-moi !

Mais comment te croire, Sophie ? Tu jures et tu pleures, ma fille. Pour attendrir mon cœur, tu cries et tu fais des promesses. Et ça recommence, Sophie. C'est plus fort que toi, jeune fille. Tu n'écoutes que le diable qui pique un de tes faiblesses. Sainte Marie, moi qui vous lis, me crois. Peut-on croire les enfants tout à fait innocents ?

En traversant la chose, Sophie Tu t'es punie toute seule, ma fille C'est à propre frayeur le prix D'avoir désobéi Une pièce de 5 francs, c'est peu Estime-toi heureuse, bon Dieu Tu ne payes que d'un tablier La somme de tes péchés Sainte Marie, moi qui vous livre ma croix Sainte Marie, démon Moi qui vous livre ma foi Peut-on croire les enfants Tout à fait innocents

Sophie faisait-elle exprès de désobéir ? C'est une question difficile. Quand elle jurait de ne jamais recommencer, est-ce qu'elle y croyait ? En allant seule sur le chantier qui lui était interdit, bien sûr, ce n'était pas la dernière fois de sa vie que Sophie allait désobéir. Tant mieux pour nous, sinon l'histoire serait finie.

Je vais vous en raconter une autre, qui commence elle aussi dans la basse-cour, exactement à l'endroit où les maçons avaient construit la maison pour les poules, les pintades et les poulets. Voilà, quand tu marches comme ça près de moi, c'est très bien. Une fois la maison construite, Sophie y allait tous les matins avec sa maman. Vous pensez que de nouveaux petits poulets seront sortis de leurs oeufs aujourd'hui ? Nous verrons bien. Avant d'aller les voir, nous allons commencer par nourrir le reste de la basse-cour.

Il y a assez de pain dans mon panier ? Largement assez. Il y avait des poules de différentes espèces et très belles, chacune dans des galeries différentes. Aussitôt que Sophie arrivait dans la première, Eh, doucement, reculez ! toutes les poules et tous les coques accouraient, sautaient autour d'elle, bectaient le pain presque dans ses mains et dans son panier. Eh, toi, tiens ! Par ici, viens là-bas, il y en aura pour tout le monde.

Allez Sophie, finis de distribuer le panier, je vais voir les poules couveuses. Non, ne les excite pas autant. Sa maman entra dans une grande et belle galerie où demeuraient les poules les plus choyées. Elles étaient logées comme des princesses et soignaient mieux que beaucoup de princesses.

Madame de Réan avait fait couver des œufs à des poules huppées. Super ! Ah, j'ai tout déprimé ! Oh, le bébé poulet ! Ce matin-là, quand Sophie rejoignit sa maman, elle la vit qui tenait un magnifique poulet. Il a dû naître il y a moins d'une heure. Ses plumes sont terribles !

On dirait un corbeau. Oui, puis regarde aussi quel joli hup il a sur la tête. Ce sera un magnifique poulet. Allez, allez mon petit, retourne voir ta maman. Madame de Réan le replaça près de la poule couveuse. À peine l'avait-elle posée, que la poule donna un grand coup de bec au pauvre poulet. Est-ce que tu es méchante ? Quelle vilaine bête ! Mais peut-être qu'elle n'a pas fait exprès. Tu crois ? Allez, on va lui redonner une chance. Viens là, viens là toi mon bébé.

Elle releva le petit poulet qui était tombé en criant et le remit près de la poule. Oh ! Méchante ! Quelle peste ! Sauve-le, maman, sauve-le ! Madame de Réan accourut et saisit le poulet que la mère allait tuer à force de coups de bec. Elle lui fit avaler une goutte d'eau pour le ranimer. Voilà, allez. Attends, reviens. Mon pauvre, regarde, il est complètement abattu.

Le pauvre ! Qu'est-ce qu'on va faire de ce poulet ? Impossible de le laisser avec sa méchante maman, de l'éturer. Oh, regarde, il est si beau que je voudrais l'élever. Moi aussi ! Écoutez, maman, j'ai une idée. Mettez-le dans un grand panier, dans la chambre où sont rangés mes joujoux. On lui donnera à manger et quand il sera grand, nous le remettrons au poulailler. Mais je crois que tu as raison.

Où est ton panier à pain ? Ici. Emporte-le et arrange en lui un petit lit. D'accord. Oh, maman, regardez son cou. Il saigne. Son dos aussi. Oui, c'est les coups de bec de la poule. Oh là là. Allez, rapporte-le à la maison et demande à ta bonne du Serra. Tu lui en mettras sur les plaies, d'accord ? Oui, maman. Ah, mais peut-être que vous ne savez pas ce qu'elle sert à. Bonne du Serra. Eh bien, c'est une pommade.

très onctueuse, fabriquée avec de la cire d'abeille et de l'huile d'amande. On s'en servait, jadis, très souvent pour soigner les blessures. Voilà, voilà. Il ne faut plus du tout qu'on voit ta blessure. Sophie n'était certainement pas contente de voir des blessures au poulet, mais elle était enchantée d'avoir à y mettre du sérat. Elles lui ont mis des paquets sur chaque endroit qui saignait. C'est largement assez, vous l'avez bien tartiné. Encore un peu.

Ensuite, elle lui prépara une pâté d'œufs, de pain et de lait qu'elle écrasa et remua pendant une heure. Encore un peu, il faut que ce soit délicieux. Le poulet souffrait, il était triste, il ne voulut pas manger. Mais pourquoi tu ne veux pas de ma pâté ? Il but seulement plusieurs fois de l'eau fraîche. Je crois qu'il a surtout besoin de repos. Remettez-le dans son petit lit !

Au bout de trois jours, les plaies du poulet étaient guéries et il se promenait devant le perron du jardin. Ça fait beaucoup de bien. Un mois après, il était devenu d'une beauté remarquable et très grand pour son âge. On lui aurait donné trois mois pour le moins. Ses plumes étaient d'un noir bleu très rare. Son bec et ses pattes étaient roses. Sa démarche était fière.

Ses yeux étaient vifs et brillants. On n'avait jamais vu un plus beau poulet. Tiens, encore un peu de pâté. C'est Sophie qui était chargée de le soigner. Arrêtez mes mordiciers. C'était elle qui lui apportait à manger. C'était elle qui le gardait lorsqu'il se promenait devant la maison. Non, non, non, ne pars pas si loin. Reviens ! Dans peu de jours, on devait le remettre au poulailler parce qu'il devenait trop difficile à garder. Je dis reviens !

« Reviens ! » Sophie était quelquefois obligée de courir après lui pendant une demi-heure sans pouvoir le rattraper. « Laissez ! Il s'échappe ! » Une fois même, il avait manqué se noyer en se jetant dans un bassin plein d'eau qu'il n'avait pas vu tant il courait vite pour se sauver de Sophie. « Puisque c'est comme ça, je vais t'attacher un ruban vilain ! Laisse-moi attraper ta patte ! »

Sophie, laisse cet animal tranquille. Tu vas lui casser la patte avec ce ruban. Mais maman, il essaye de s'échapper. Je ne veux plus qu'il sorte du poulailler. Détache ce ruban et laisse-le dans l'enclos. Ici, il y a beaucoup de vautours qui pourraient l'enlever. Il faut attendre qu'il soit grand pour le laisser en liberté. Sophie baisse à la tête et ne dit plus rien. Je le sortirai quand même. Ah, si, écoutez. Je le sortirai quand même. Elle marmonne tout bas.

Encore une fois. Je l'amuse et je le promènerai. Qu'est-ce que tu dis, Sophie ? Rien, maman. Mais Sophie, qui n'était pas obéissante, vous l'aurez compris, continuait de le faire sortir en cachette de sa maman. Et un jour, sachant sa maman occupée à écrire, elle amena le poulet devant la maison. Un peu de nature, c'est ce qu'il te faut. Allez, chou ! Il s'amusait à chercher des moucherons et des vers dans le sable et dans l'herbe. Je te surveille.

Reste discret. En levant les yeux, elle vit un gros oiseau au bec crochu qui s'était posé à trois pas du poulet. Quel drôle l'oiseau ! Il regardait le poulet d'un air féroce et Sophie d'un air craintif. Quel drôle ! Le poulet ne bougeait pas, il s'était accroupi et il tremblait. Au même instant, l'oiseau s'élança sur le poulet. Oh !

Le saisit dans ses griffes et l'emporta à tir d'elle. Qu'est-ce que c'est que ces cris que je viens d'entendre ? Sophie, qu'est-ce qui est arrivé ? Je ne sais pas. Un oiseau a porté le poulet. Qu'est-ce que ça veut dire ? Cela veut dire, Sophie, que c'était un vautour pardi. Un oiseau méchant, surtout, qui lui craquera le cou. Il va le manger tout cru, des pattes jusqu'à la hupe. Et ne fera qu'une bouchée de ce pauvre poulet. Allez maintenant dans votre chambre.

Vous y prendrez votre souper. Allez-y immédiatement. Et restez-y toute la soirée. Vous n'aviez qu'à mieux m'écouter. Sophie baissa la tête et s'en alla tristement dans sa chambre. Elle dîna avec la soupe et le plat de viande que lui apporta sa bonne. Encore une cuillerée. C'est du poulet. Il y a des larmes plein votre assiette.

Je voulais juste qu'ils vivent en liberté Sainte Marie, aidez-moi Moi qui vous livre Sainte Marie, moi qui vous livre Peut-on croire les enfants tout à fait innocents ?