Plus de 48h après la chute du président Bachar al-Assad, les rebelles ont nommé ce mardi un chef de gouvernement transitoire. Pour le moment, il semble que le groupe HTS qui a fait tomber le régime syrien soit soucieux du respect des institutions, loin de l’image historique de son chef Abou Mohammad al-Jolani, ancien combattant d’al-Qaïda en Irak et en Syrie.
À quel type de gouvernance faut-il s’attendre ? Comment éviter que l’après-Assad aboutisse à un fiasco similaire à ce qui s’est passé en Irak ou en Afghanistan ?
**Pour en débattre : **
**- Mohamed Nour-Hayed, **écrivain, conférencier, réfugié syrien en France depuis 2014
- Pierre Boussel, chercheur associé à la Fondation pour la recherche stratégique
- Cyril Blin, directeur des opérations à la Fédération internationale pour les droits humains (FIDH).